Inframince #5

Le numéro 5 d’Inframince interroge les nouveaux contextes de la photographie, son rapport actuel à l’interdisciplinarité, à la littérature, au reportage, aux procédés anciens, à la poésie, aux arts plastiques et à ceux de la scène. Il fait appel pour ce-là à des auteurs belges, allemands, américains, japonais,…et français.

Selon les habitudes de la revue chacun aborde le thème comme il l’entend mais tout ce-là, curieusement (ou pas), finit par constituer une sorte de récit mondialisé qui comporte non seulement des textes mais des images, pour beaucoup d’entre elles réalisées par des étudiants de l’école.

Sommaire
  • Patrick Talbot, Nouveaux contextes… (bref récit)
  • Jan Baetens, Les limites conceptuelles de notre réflexion sur la photographie – La question de l’interdisciplinarité (traduction de l’anglais, Patrick Talbot)


PORTFOLIO

  • Gilles Pourtier, texte d’Arnaud Claass
  • Bruno Serralongue, Je produis une subjectivité, plutôt qu’une alternative, dialogue avec Thomas Seelig


PORTFOLIO

  • Arno Gisinger, Anthony Haughey, texte d’Etienne Hatt
  • Fred Ritchin, Le démasquage des possibilités photographiques, manière cubiste (traduction de l’anglais, Arnaud Claass)


PORTFOLIO

  • Marie Quéau, texte d’Oliver Clément
  • Mariko Takeuchi, Notes sur   » heureux échec  » de la photographie, et sur ses possibilités au présent (traduction du japonais, Dominique Palmé)


PORTFOLIO

  • Des états de corps qui dansent, texte de Christian Gattinoni
  • Jean-Marie Gleize, Contribution à l’impuissance photographique


PORTFOLIO |
Alexandre Maubert, Casabianda, texte de Christian Milovanoff

PORTFOLIO | Gary Hill extrait de Primarily Speaking